Comment Google va-t-il ouvrir ses premiers datacenters pour son cloud en France en 2023 ?

Les datacenters de Google prennent en charge les services de cloud computing de l’entreprise et ses principaux produits tels que Gmail, Drive, Maps, YouTube et Search.

La société exploite ou prévoit d’ouvrir des datacenters sur plusieurs marchés, notamment en Californie, au Canada, aux Pays-Bas, en Virginie du Nord, à Sao Paulo, à Londres, en Finlande, à Francfort, à Mumbai et à Singapour. Ces sites contribueront à garantir que les clients puissent exécuter leurs applications et stocker leurs données localement et utiliser des technologies d’analyse de données et d’IA en temps réel pour différencier, rationaliser et transformer leur activité.

Quel est le grand fournisseur de services de cloud computing au monde ?

Google Cloud, une unité commerciale d’Alphabet Inc, est l’un des plus grands fournisseurs de services de cloud computing au monde. Il génère plus de 25 milliards de dollars de revenus chaque année. L’infrastructure de datacenters de l’entreprise est située dans divers pays du monde. En Amérique du Nord, elle possède 19 datacenters dans 14 États et prévoit d’investir cette année un total de 9,5 milliards de dollars dans de nouvelles installations.

En Europe, elle compte 12 régions et 36 zones de disponibilité. Il exploite ou prévoit d’exploiter des datacenters en Belgique, en Finlande, en Allemagne, en Irlande et aux Pays-Bas. Le premier datacenter de Google en France devrait ouvrir en 2023. Il s’appuiera sur des installations fournies par des opérateurs de colocation tels qu’Equinix, Interxion et Telehouse.

Comment Google alimente-t-il ses nouveaux datacenters ?

Google alimentera ses nouveaux datacenters avec de l’électricité issue d’énergies renouvelables. Cela permettra d’économiser beaucoup d’argent et de produire moins d’émissions de carbone. L’alimentation électrique utilisée par le datacenter paris sera une combinaison de batteries et de circuits d’alimentation conçus pour être plus économes en énergie que les systèmes traditionnels. Ils utilisent un certain nombre de tensions et de compteurs de puissance pour contrôler la quantité d’énergie qu’ils envoient aux serveurs informatiques.

Ils utilisent également une technologie appelée évaporation-refroidissement qui permet de refroidir les ordinateurs sans recourir à la réfrigération. Il s’agit d’un moyen plus durable de refroidir les serveurs, et l’eau est canalisée à partir d’un canal industriel.

Il s’agit de l’un des premiers datacenters à utiliser ce type de technologie, qui a déjà permis à l’entreprise d’économiser beaucoup d’argent. Il fournit également des emplois à de nombreuses personnes dans la région et contribuera à l’économie.

Comment Google gère-t-il les systèmes de refroidissement de plusieurs de ses datacenters ?

Google et DeepMind ont travaillé sur un système d’IA qui apprend à ajuster les systèmes de refroidissement – ventilateurs, ventilation et autres équipements – pour réduire la consommation d’énergie. Ce système a déjà fait des recommandations aux gestionnaires de datacenters, ce qui a permis de réaliser des économies d’énergie d’environ 40 %.

Aujourd’hui, l’entreprise confie le contrôle à l’algorithme d’IA, qui gère désormais les systèmes de refroidissement de plusieurs de ses datacenters léviathans. Le système interroge des milliers de capteurs toutes les cinq minutes, identifie les modifications qui, selon lui, réduiront la consommation d’énergie et renvoie ces informations au datacenter et à ses systèmes de contrôle locaux.

Ces systèmes vérifient les résultats et mettent en œuvre les ajustements nécessaires. Ils disposent également de contrôles de sécurité pour éviter que l’IA ne provoque des incendies ou d’autres dommages. À mesure que la demande mondiale d’informatique en nuage augmente, même de petites modifications apportées aux installations des datacenters peuvent générer des millions de dollars d’économies d’énergie. Google espère que le nouveau système l’aidera à réduire ses émissions de carbone, qui sont déjà importantes.

Les datacenters de Google disposent-ils de plusieurs niveaux de sécurité ?

À l’heure où les menaces de cybersécurité comprennent les ransomwares, les attaques de la chaîne logistique et les nouvelles vulnérabilités, les datacenters s’adaptent à une « nouvelle normalité » où les politiques de sécurité doivent évoluer de manière dynamique en fonction des changements de charges de travail.

Dans les datacenters de Google, nous mettons en œuvre diverses mesures de sécurité physique et cybernétique pour protéger les données sensibles qui y sont stockées. Nous maintenons une opération de sécurité sur site responsable de toutes les fonctions de sécurité physique des datacenters, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Nos datacenters disposent de plusieurs niveaux de sécurité, notamment des clôtures de périmètre et des caméras de surveillance à 360 degrés pour empêcher tout accès non autorisé aux bâtiments. Nous utilisons également des scanners biométriques pour vérifier l’identité d’une personne et son accès aux points de contrôle de sécurité. Les installations des datacenters utilisent un système de contrôle d’accès à double authentification qui est relié à un système d’alarme. Les activités non autorisées et les tentatives d’accès infructueuses sont enregistrées et font l’objet d’une enquête, le cas échéant.

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